ARTICLE
Reporting RSE
Comment reprendre la main pour transformer la gestion de vos données en expérience utile et structurante
Dans beaucoup d’ETI industrielles, les directions RSE passent désormais plus de temps à compiler des chiffres pour les clients, les banques ou les fonds qu’à piloter une trajectoire climat ou à travailler avec les métiers.
Entre les questionnaires ESG des grands donneurs d’ordres, les demandes d’EcoVadis, les exigences des banques et, dans le futur, la CSRD, la gestion des données RSE devient un sujet stratégique. Mal structurée, elle se transforme en usine à gaz. Bien organisée, elle devient un levier de compétitivité, de différenciation commerciale et de sécurisation du modèle économique.
Par Mélanie Ecalard
Consultante confirmée RSE et Impact chez CorpoKarma, Mélanie est spécialisée en stratégie RSE, éthique des affaires et achats responsables. Elle possède une expertise forte en gestion de projet, animation, analyse des données et accompagnements aux référentiels (EcoVadis, B Corp, Société à mission…)
L’objectif de cet article est simple : vous proposer quelques bonnes pratiques, en tant que direction RSE d’ETI, pour reprendre la main sur votre reporting RSE, structurer vos données extra-financières et aligner votre organisation avec les référentiels CSRD, LSME et VSME sans exploser vos ressources internes.
Les directions RSE d’ETI : prises en étau par les demandes de reporting
Quand on dirige la RSE d’une ETI, la réalité n’a rien à voir avec celle d’une start-up ou d’un grand groupe : la taille critique n’est pas suffisante pour disposer d’une équipe RSE étoffée, mais l’entreprise est assez grande pour recevoir un volume massif de demandes de reporting.
Quelques caractéristiques typiques :
- des activités industrielles multi-sites en France et parfois en Europe, avec des données éclatées entre plusieurs systèmes d’information ;
- des clients grands comptes qui durcissent leurs exigences RSE et climat dans les appels d’offres ;
- des banques et investisseurs qui conditionnent le coût du capital à des indicateurs de performance extra-financière ;
- une équipe RSE réduite, souvent seule pour coordonner la collecte et répondre à toutes les sollicitations ;
- des métiers déjà très sollicités, peu disponibles pour remplir un énième fichier Excel.
Dans ce contexte, structurer la donnée RSE n’est pas un “nice to have” : c’est un enjeu de robustesse, de crédibilité et de maintien de vos débouchés commerciaux.
Des demandes multiples, non harmonisées… et très chronophages
Prenons le cas d’une ETI industrielle de 1 200 salariés, avec 6 sites de production en France et en Europe, fournisseur de grands donneurs d’ordres dans l’automobile et la santé. En parallèle, la direction RSE doit répondre à :
- un actionnaire majoritaire qui exige un reporting ESG consolidé pour suivre les risques et opportunités climat ;
- plusieurs clients grands comptes qui intègrent désormais des critères RSE éliminatoires dans leurs appels d’offres ;
- une banque qui conditionne une ligne de financement ou un sustainability-linked loan à des indicateurs climat et sociaux précis ;
- l’évaluation EcoVadis, devenue un prérequis pour rester référencé ;
- des obligations sectorielles (réglementations environnementales, substances dangereuses, minerais de conflit, etc.).
Chacun parle son propre langage, demande des périmètres légèrement différents, des unités de mesure qui varient, des historiques sur 3 ou 5 ans… Résultat : l’équipe RSE passe ses semaines à reformater les mêmes données RSE sous dix formats différents, au lieu de structurer un véritable plan d’action climat, achats responsables ou économie circulaire.
Quand un même sujet génère dix indicateurs différents
La gestion des déchets ou du climat illustre parfaitement la complexité du reporting RSE en ETI. Sur les déchets, on peut vous demander, parfois dans la même année et selon les interlocuteurs :
- le poids total des déchets produits en année N (tous types confondus) ;
- l’évolution du poids des déchets par rapport à N-1 ;
- le poids des déchets dangereux et leur part dans le total ;
- les volumes de déchets valorisés sur les trois dernières années ;
- les taux de valorisation matière et énergétique ;
- la part des déchets envoyés en décharge et incinérés ;
- le nombre de sites disposant d’un tri conforme ;
- les émissions de CO₂ associées au traitement des déchets (scope 3).
Sur le climat, les demandes peuvent porter en parallèle sur vos émissions de gaz à effet de serre (scopes 1, 2 et 3), votre intensité carbone, la part d’électricité renouvelable, les investissements de décarbonation, votre trajectoire SBTi ou encore votre réponse au CDP. Sans cadre commun, la collecte devient une jungle, surtout dans une ETI multi-sites.
CSRD, LSME et VSME : structurer les données RSE des ETI industrielles
La Corporate Sustainability Reporting Directive (CSRD) impose progressivement un reporting extra-financier harmonisé au niveau européen. Basée sur les European Sustainability Reporting Standards (ESRS), elle vise à rendre les données ESG plus lisibles et comparables pour les investisseurs, partenaires et parties prenantes.
Pour les ETI, même lorsqu’elles ne sont pas directement dans le périmètre de la CSRD, l’impact est déjà là : les clients soumis à la CSRD demandent des données plus précises, auditables, traçables. Les banques et les fonds s’alignent progressivement sur ces référentiels pour évaluer les risques et conditions de financement.
Dans ce paysage, deux standards spécifiques viennent structurer le reporting des PME et ETI : le VSME (Voluntary SME Standard) et le LSME (Listed SME Standard).
VSME et LSME : des standards adaptés aux PME et ETI
Le VSME s’adresse aux PME et ETI non cotées ou aux filiales de groupes soumis à la CSRD. Il permet d’adopter une approche structurée et proportionnée du reporting ESG, sans attendre d’y être contraintes.
Son module de base repose sur 11 indicateurs répartis sur les trois piliers ESG (Environnement, Social, Gouvernance), avec un calcul des émissions limité aux scopes 1 et 2 et sans analyse de double matérialité. Le module complet renforce l’approche qualitative : modèles d’affaires durables, diversité et inclusion, risques climatiques et stratégies d’adaptation, politiques de réduction des émissions de gaz à effet de serre.
Le LSME vise les PME et ETI cotées. Il allège la charge de reporting par rapport aux ESRS complets, tout en maintenant des exigences fortes : couverture des trois piliers ESG, analyse de double matérialité, données vérifiables et auditables, publication conjointe avec les comptes annuels.
Pour une ETI, se baser sur ces référentiels n’est pas seulement un sujet de conformité : c’est un enjeu de compétitivité commerciale. Ils offrent un socle structurant qui unifie les indicateurs, évite la multiplication des formats et facilite le dialogue avec vos clients, vos banques et vos investisseurs.
Ce que ces référentiels changent quand on est ETI
Concrètement, pour une ETI industrielle :
- vos clients soumis à la CSRD vont exiger des données plus détaillées, traçables et cohérentes d’une année sur l’autre ;
- vos banques et investisseurs s’appuieront sur ces cadres pour apprécier vos risques, votre trajectoire climat et vos besoins d’investissement ;
- vos directions Financière, Achats, RH et Production ont besoin d’un langage commun pour produire, fiabiliser et utiliser ces données ;
- la direction RSE devient le chef d’orchestre de la donnée extra-financière, mais ne peut pas tout faire seule.
L’enjeu clé : construire un système de management de la donnée RSE qui soit compatible avec ces référentiels, mais adapté à la réalité opérationnelle d’une ETI.
Méthodologie en 4 étapes pour reprendre la main sur vos données de reporting RSE
Étape 1 – Cartographier les demandes de reporting RSE de vos parties prenantes
La première étape consiste à inventorier toutes les demandes de reporting RSE : CODIR, clients grands comptes, banques, investisseurs, labels, certifications, ratings (EcoVadis, CDP, etc.). Cet inventaire permet de visualiser les thèmes récurrents et les divergences de formats.
Dans une ETI, ce travail gagne à être mené à plusieurs :
- Direction RSE : cartographie des thèmes, périmètres, fréquences ;
- DAF / Contrôle de gestion : alignement avec les cycles de clôture et les données financières existantes ;
- Direction des Achats : suivi des sollicitations clients et fournisseurs, portails, questionnaires ;
- DSI : identification des sources de données fiables dans les systèmes d’information ;
- QHSE et RH : données sociales, santé-sécurité, conditions de travail, formation.
Livrable attendu : une vue consolidée des demandes RSE classées par thème, fréquence et criticité business (clients stratégiques, financement, conformité réglementaire). On observe très vite que 70 à 80 % des indicateurs reviennent régulièrement, simplement formulés différemment.
Étape 2 – Identifier les données RSE déjà disponibles et exploitables
Deuxième étape : recenser les données déjà présentes dans l’entreprise et que vous pouvez mobiliser pour le reporting RSE. Dans une ETI, la plupart des données existent déjà dans : ERP, comptabilité, registres déchets, bilans sociaux, systèmes QHSE, outils RH, etc.
Les bonnes pratiques :
- identifier les données déjà collectées régulièrement (factures d’énergie, registre déchets, données RH, reporting sécurité) ;
- prioriser les données fiables et auditées (comptabilité, données RH, données issues de systèmes certifiés) ;
- réfléchir à la manière de transformer des données brutes en indicateurs RSE (par exemple, calculer un écart salarial de genre à partir de salaires moyens) ;
- repérer les besoins de collecte spécifique (enquête fournisseurs, étude mobilité, mesure plus fine des consommations) ;
- capitaliser sur les historiques disponibles pour suivre des trajectoires (énergie, carbone, accidents, absentéisme, etc.).
Trop souvent, les directions RSE sous-estiment la richesse des données déjà présentes dans l’ETI. La clé est de créer un langage commun entre métiers pour transformer ces données brutes en indicateurs RSE pertinents et réutilisables.
Étape 3 – Construire un système de management de la donnée RSE adapté à une ETI
Cette étape consiste à passer d’une gestion réactive (répondre aux questionnaires au fil de l’eau) à une logique de pilotage continu des données RSE. Il ne s’agit pas d’acheter immédiatement un outil, mais d’abord de clarifier le cadre :
- Quelles données collecter ? Sur quels périmètres (sites, filiales, produits, pays) ?
- Où se trouvent-elles concrètement (systèmes d’information, fichiers Excel, registres papiers) ?
- Qui en est responsable (RSE, DAF, Achats, RH, QHSE, DSI) et avec quel rôle (production, validation, consolidation) ?
- Avec quelle fréquence les mettre à jour (mensuelle, trimestrielle, annuelle) pour concilier charge de travail et pertinence ?
- Selon quel mode de validation, pour garantir la fiabilité et l’auditabilité des données ?
Pour une ETI multi-sites, le sujet n’est pas de « passer à un outil magique », mais de définir dans quel ordre : 1) la gouvernance de la donnée, 2) le cycle de vie des données, 3) le socle outillé (Excel avancé, puis éventuellement outil SaaS).
L’objectif final : faire en sorte qu’un même socle de données RSE permette de remplir vos demandes clients, vos échanges avec les banques et investisseurs, votre rapport RSE ou CSRD et vos indicateurs internes de pilotage.
Étape 4 – Clarifier les bénéfices pour embarquer les métiers et redonner du sens à la donnée RSE
Sans bénéfices clairs pour les métiers, le reporting RSE sera toujours vécu comme une corvée administrative. Pour une ETI, il est donc clé de traduire les indicateurs en avantages concrets pour chaque direction :
- Finance : meilleure anticipation des risques financiers, préparation des financements liés à la performance RSE, dialogue renforcé avec les banques et les fonds ;
- RH : preuve des engagements sociaux, appui à la marque employeur, suivi des conditions de travail et de la qualité de vie au travail ;
- Achats : meilleure visibilité sur les risques fournisseurs, alignement avec les exigences RSE des donneurs d’ordres, capacité à prioriser les plans d’actions avec les fournisseurs stratégiques ;
- Production : optimisation énergétique, réduction des pertes matière, meilleure maîtrise des coûts opérationnels ;
- Direction générale / CODIR : vision consolidée des risques et opportunités RSE, capacité à arbitrer les investissements (CAPEX/OPEX) et à suivre une trajectoire climat crédible.
Les indicateurs RSE ne doivent pas être collectés “pour la forme”, mais utilisés pour piloter la performance interne, convaincre le CODIR du retour sur investissement de la RSE et répondre aux attentes clients et investisseurs avec des preuves solides.
Bien communiqués, les résultats RSE peuvent devenir un levier de fierté interne : baisse des émissions, amélioration des conditions de travail, engagement social local… Autant de succès collectifs à rendre visibles.
Conclusion
Faire du reporting RSE un levier de compétitivité pour votre ETI
Pour une ETI industrielle, le reporting RSE ne peut plus se limiter à répondre à des questionnaires subis. C’est un levier pour sécuriser vos marchés, négocier votre coût du capital, attirer les talents et piloter la résilience de votre modèle.
En structurant vos données RSE, en vous appuyant sur les cadres CSRD, LSME et VSME, et en construisant un système de management de la donnée adapté à votre réalité multi-sites, vous pouvez passer d’un reporting subi à un pilotage maîtrisé :
- des données interopérables et réutilisables pour plusieurs demandes ;
- des indicateurs fiables et auditables, crédibles aux yeux de vos parties prenantes ;
- des équipes qui perçoivent enfin la donnée RSE comme un outil d’aide à la décision, pas comme une contrainte administrative.
Reprendre la main sur vos données RSE, c’est donc bien plus qu’améliorer vos reportings : c’est protéger et renforcer la position de votre ETI dans sa filière, aujourd’hui et pour les années à venir. C’est aussi valoriser le métier de la direction RSE, en passant d’un rôle de collecteur de données, à un véritable business partner.
FAQ
Reporting RSE et gestion des données
Qu’est-ce que le standard VSME en reporting RSE ?
Le VSME (Voluntary SME Standard) est un référentiel volontaire créé par l’EFRAG pour les PME non cotées. Il propose un cadre simplifié pour structurer le reporting RSE et répondre aux attentes des clients, investisseurs et partenaires, sans la lourdeur de la CSRD.
Quelle différence entre CSRD, LSME et VSME ?
- CSRD : directive européenne obligatoire pour les grandes entreprises et certaines PME, avec publication d’informations selon les ESRS.
- LSME : standard obligatoire pour les PME cotées, plus léger que la CSRD mais structuré.
- VSME : standard volontaire pour les PME non cotées, conçu pour anticiper les demandes des parties prenantes et structurer les données RSE.
Pourquoi la gestion des données RSE est-elle si complexe ?
Les directions RSE doivent répondre à des demandes multiples et hétérogènes : CODIR, clients grands comptes, investisseurs, banques, organismes de notation (EcoVadis, CDP, etc.). Chaque acteur a ses propres indicateurs, ce qui génère une charge administrative importante sans cadre commun.
Comment rendre la collecte de données RSE plus efficace ?
Pour reprendre la main, il est recommandé de :
- Cartographier les demandes des parties prenantes,
- Identifier les données déjà disponibles ou facilement calculables,
- Mettre en place un système de management de la donnée RSE (qui collecte quoi, quand et comment),
- S’appuyer sur un référentiel comme le VSME ou le LSME pour structurer et harmoniser les indicateurs.
Faut-il investir dans un outil pour gérer ses données RSE ?
Pas toujours. Pour une PME, un tableur structuré peut suffire. Pour une entreprise multi-filiales ou fortement sollicitée, un outil de pilotage RSE permet de gagner du temps et d’améliorer la fiabilité. Le choix dépend du rapport coût/bénéfice et de la complexité de vos données.
Quel est le Retour sur investissement (ROI) du reporting RSE ?
Le ROI peut être multiple :
- ROI opérationnel : pilotage et efficacité :
Un reporting bien conçu agrège des données auparavant dispersées sur l’énergie, les accidents du travail, les émissions de CO₂, la diversité etc. Cela permet d’identifier des leviers d’amélioration concrets.
- ROI commercial : compétitivité accrue
Dans de nombreux appels d’offres, les critères RSE peuvent peser pour un quart de la note finale. Les entreprises capables de présenter un reporting fiable et structuré (LSME ou VSME) se distinguent immédiatement et augmentent leurs chances de remporter des contrats.
- ROI réputationnel : confiance et image
Dans un contexte où le greenwashing est scruté par les clients, investisseurs et médias, fournir un reporting conforme aux standards européens renforce la crédibilité. C’est un investissement en capital confiance, indispensable pour attirer de nouveaux talents et sécuriser les relations avec les partenaires.
Un simple fichier Excel peut-il suffire pour gérer les données RSE d’une ETI ?
Oui, dans un premier temps, un tableur structuré peut suffire, à condition d’être bien pensé : référentiel d’indicateurs unique, règles de saisie claires, responsabilités définies, contrôles basiques. L’investissement dans un outil SaaS devient pertinent lorsque le volume de données, le nombre de sites et la fréquence des sollicitations rendent la gestion manuelle trop risquée ou trop coûteuse en temps.
Comment prioriser les indicateurs RSE dans une ETI avec peu de ressources ?
Commencez par croiser trois critères : ce qui est demandé régulièrement par les clients et les financeurs, ce qui est stratégique pour votre modèle économique (énergie, matières, risques sociaux) et ce qui est cohérent avec votre trajectoire climat et RSE. Inutile de suivre 150 indicateurs : mieux vaut 30 indicateurs robustes, fiables et utilisés dans les décisions de l’entreprise.
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